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Pêche de la truite aux leurres
La Truite est bien sûr un des adversaires les plus prisés des pêcheurs en France et dans le monde. En Pays Gentiane ce poisson roi fierté de nos rivières est très présent du plus petit des ruisseaux à la grande Rhue. Traquer ce poisson sauvage au coeur de son milieu reste un défi à relever.

En effet la difficulté principale pour la pêche de la truite est d'arriver à garder en permanence un leurre efficace quelque soit le profil de la rivière. Les courants, les plats voire les parties torrentielles sollicitent votre petit bout de plastique très différemment et il n'est pas facile de trouver le bon. Suspending, floating ou singing plus les anglophones.Il vous faudra maîtriser toutes les nuances de leurres pour arriver à tromper la vigilance de dame fario.

La pêche aux leurres étant particulièrement indiquée pour traquer et capturer les plus beaux spécimens, il est particulièrement intéressant de la pratiquer sur des zones ou ses gros poissons sont présents. En Pays Gentiane, la rivière qui ce prête le plus à cette pratique est la Grande Rhue. Cependant les différents postes présents sur la Petite Rhue, la Suméne, voir la Véronne permettent également de progresser dans cette technique et de passer des moments incroyables.
Alors tous a vos cannes à l’assaut de nos belles farios sauvages.
écris par Guillaume VERNET
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Pêche de la truite à la mouche
Le principe général est très différent des autres techniques de pêche. Ainsi au lieu de se servir d'un poids pour propulser un leurre ou un montage, c'est ici le fil lui même appelé soie qui permet de lancer le leurre appelé dans la majorité des cas la "Mouche". Cela donne une technique particulièrement esthétique et efficace.
La pêche à la mouche se divise cependant en plusieurs techniques différentes.
-La mouche sèche: qui est la technique originale et qui consiste à pêcher avec des imitations d'insectes posés sur l'eau. Les poissons viennent gobés ces proies faciles et finissent pris au bout de la ligne.
- La mouche noyée qui permet de faire passer des mouches sous la surface de l'eau dans les courants
-La nymphe qui elle permet carrément d'imiter des larves dérivant dans le courant grâce à des mouches lestées qui coulent dans la veine de courant.
-Le steamer enfin qui permet d'imiter de petits poissonnets pour décider les plus beaux spécimens ichtyofages.

De manière générale il est très important de ce fier aux différentes éclosions d'insectes qui surviennent sur le postes de pêche. Ainsi pour vous aider nous mettrons en ligne régulièrement les nouvelles du bord de l'eau sur ce blog pour vous permettre de ne pas manquer les meilleurs moments de l'année pour réaliser de belles sorties à la mouche. De manière générale en Pays gentiane deux éclosions particulières sont à ne pas manquer. Les March Brown en avril et les mouche de mai en juin. Pour tous le reste de l'année nos truites ne sont pas très difficile quant à la moouche utilisées. De beaux sedges chevreuils, des oreilles de lièvres ou des palmers suffiront à les berner. cependant ne croyaient pas triompher facilement des truites sauvages des rivières locales. Si elles sont tolérantes quant à la mouche utilisés, elles sont beaucoup plus regardante sur la qualité du posé. Alors appliquez-vous et savourez des moments inoubliables
A noter que vous trouverez sur le Pays Gentiane un réservoir de pêche à la mouche. Soit un lac de 5 hectares environs dans lequel d nombreuses truites sont présentes. Le lac de Roussillou est réservé aux pêcheurs à la mouche et vous réservera des surprises de taille!
écris par Guillaume VERNET
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Pêche de la truite au toc.
La pêche au toc porte tout simplement ce nom car il s’agit de la sensation ressentie par le pêcheur lorsque la truite se saisit de l’appat.
Le matériel utilisé
Deux types d’approche divergent pour la pêche au toc. La première école est traditionnelle et est spécifique au massif central : il s’agit de la pêche à la barre, grande canne au coup de 6 à 8 mètres de long au bout de laquelle est attaché une bannière de fil d’environ 2 mètres . Il s’agit d’une approche très spécifique de la pêche au toc, très prisée des vielles mains locales, qui peut faire l’objet d’un article particulier tant son approche est spécifique.
La seconde approche consiste en l’utilisation d’une canne téléréglable d’environ 4 mètres , ou mieux d’une canne anglaise ou à fil intérieur, un moulinet venant compléter l’ensemble. Le moulinet servant essentiellement de réserve de fil il sera de préférence de petite taille. Des moulinets crées spécifiquement pour le toc, de type ritma 72, sont parfaits dans la mesure où ils sont robustes et très légers ce qui est appréciable après toute une journée de pêche.
Le bas de ligne est réalisé en nylon, ou mieux en fluorocarbone, de 14/100ème à 10/100ème en fonction des conditions de pêche.
La plombée est également à adapter en fonction de votre matériel et des postes rencontrés : groupée pour les postes rapides et profonds et étalée pour les calmes et courants réguliers. Il faut également veiller à ne pas brider l’esche en utilisant une plombée trop massive, celle-ci devant évoluer de façon naturelle.
La taille des hameçons est généralement comprise entre des n°6 pour les lombrics et vers de terre jusqu'à une taille n°16 pour les larves ou petits insectes.
Il faut toujours adapter son matériel au cours d’eau pratiqué, aux conditions de pêche ainsi qu’aux esches utilisées. En effet essayez de pêcher sur des petits ruisseaux pendant un étiage avec un hameçon de 6, un bas de ligne en 16/100ème et un gros lombric et c’est le capot assuré. Par contre le même matériel utilisé lors d’une crue en pêchant les bordures et vous risqueriez bien de rencontrer une ou deux mémères.
Les esches :
C’est comme dans le cochon, tout est bon même si certaines se démarquent naturellement. C’est notamment le cas du ver de terre qui est le roi du début de saison et des eaux fortes mais qui est délaissé dès que les beaux jours arrivent, à tort… Essayez donc en plein été au lever du jour un ver de terreau de 3 à 4 cm , même en période d’étiage, vous serez surpris.
La teigne bénéficie également d’une certaine réputation sur la truite surtout dans des eaux claires et ensoleillées.
Les insectes font également partie du menu de miss fario à la belle saison. Les insectes aquatiques de type mouche de mai sont très prisés par les truites mais sont peu pratiques pour la pêche au toc. Il est plus simple de leur préférer une sauterelle ou un grillon bien gras quand les beaux jours arrivent. Un petit tuyau : essayez le hanneton de fougère au mois de juin et la mouche de maison l’été en plein cagnard.
Une question d’approche
L’approche est primordiale pour cette technique dans la mesure ou vous vous situez à quelques mètres du poisson. En période de crue l’approche n’est pas déterminante mais en période d’étiage elle est primordiale. En effet les truites sont paranoïaques, la moindre ombre ou bruit suspect et hop plus personne. Pour éviter cette situation, sans tomber dans les extrêmes en revêtant des tenues de camouflage dignes de l’armée, il faut approcher les postes en se baissant, voire à genoux pour certains, faire corps avec les obstacles en se cachant derrière, éviter les couleurs vives et surtout faire attention aux ombres projetées.
L’action de pêche
L’action de pêche consiste à proposer à la truite un appât naturel dérivant dans le courant. La présentation naturelle de l’appât est primordiale, celui-ci ne doit en effet pas être bridé par le fil et dériver à la même vitesse que le courant. Votre fil doit être légèrement tendu sans quoi vous ne ressentirez aucune touche mais pas trop sinon la truite sentira une résistance et recrachera immédiatement l’esche. Les postes à prospecter en priorité sont les courants, hormis en début d’année ou les truites sont postées dans les trous d’eaux. Le ferrage se fait à la touche sans quoi la truite engamera complètement votre appât et ses chances de survies seront très faibles.
La touche

écris par Louis GRATEL
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Pêche des carnassiers
La pêche des carnassiers, voilà un vaste sujet qui mérite de
s’attarder un peu dessus. En effet les techniques sont diverses tout comme les
motivations, mais pour chacun un vrai point commun la passion de tromper ces
poissons prédateurs qui nous font rêver.
L’ensemble des techniques permettant de s’adapter aux
conditions du moment et au poisson recherché pour gagner en adaptabilité et
donc en efficacité. Après c’est une affaire de goût de motivation et d’envie. Les
pêches du carnassier étant particulièrement larges et diverses chacun y trouve
son plaisir et la pratique qui lui correspond de la plus reposante à la plus
sportive, de la plus simple à la plus technique.
Voilà de quoi passer des heures voir des jours au bord de l’eau
pour traquer ces fabuleux poissons. Mais si cela ne suffisait pas à proximité
vous trouverez plusieurs autres lacs de quelques hectares à plus de 1000 pour
Bort les Orgues (20 minutes de Riom ès Montagnes). Un vrai paradis pour pêcheur
qui ne demande qu’à être découvert.

Revenons au commencement, un carnassier qu’est ce que c’est ?
Ce que l’on appelle poisson carnassier c’est tout simplement un poisson
prédateur qui se nourrit des proies qu’il capture. En France communément on
cible ainsi plusieurs espèces de poissons telles que le brochet, la perche, le
sandre, le black bass, ou encore le silure (voir leur photo en Pays Gentiane).
C’est ses poissons que l’on considère pêcher quand on dit « pêcher
le carnassier », même si en réalité d’autre espèce prédatrices peuvent être
assimiler à cette famille ? La truite bien sur, mais également le chevesne
ou l’aspe chez les cyprinidé, bien que notre cabot (chevesne) et lui omnivore
il ne dédaigne pas quelques proies de toutes tailles.
Enfin bref ses quelques espèces ayant des modes de pêche qui
leur sont propre on ne parle pas de « pêche des carnassier » quand on
les traque. La truite au toc n’est par exemple bien sur pas une pêche aux
carnassiers bien que le poisson visé est bien un prédateur stricte.
C’est bon pour cela alors passons aux technique proprement
dites et à leur applications en Pays Gentiane.
Il y a plusieurs façon de pêcher le carnassier disons pour
simplifier qu’il y a :
-
Les pêches aux appâts naturels vivant comme par exemple
la pêche au vif (callé du bord, fire ball, tirette etc…)
-
Les pêches aux appâts naturels morts comme par exemple
la pêche au mort (mort posé, mort manié)
-
Les pêches aux leurres artificiels. C’est dernières
sont actuellement en pleine évolution et la gamme de leurre et maintenant très
importante. On distingue les leurres métalliques (cuiller, spinner bait, lame),
les leurre souple (virgule, shad, finess, worm, slug etc…) les leurre dur (jerk
bait, crank bait, sticke bait, lipless crank bait etc…)
En Pays Gentiane au cœur de l’Auvergne la pêche des
carnassiers et bien entendu possible. Plusieurs postes s’offrent à vous comme
autant de possibilité de prendre du plaisir.
Comme toujours dans le Cantal le plu grande superficie d’eau
libre qui recèle des carnassiers et constituée de lac de barrage. Ici au Nord
du Cantal ils sont particulièrement sauvage et parfois difficile d’accès mais
vous trouverez trois plan d’eau à pêcher, attention cependant ils sont
tellement sous exploité que leur population piscicole est mal connus mais
quelques gros poissons y sont pris chaque années. Grosse surprise en
perspective.
Mais d’autres sites de pêche aux carnassiers sont aussi à
votre disponibilité, le lac Artificiel de Majonenc et ses nombreux brochets,
mais encore le fabuleux lac glaciaire de Menet qui vous offrent brochet, sandre
ou encore perche, avec pour l’un comme pour l’autre des accessibilités bien
moins périlleuses que pour les lacs de barrages toujours situé en fond de
vallée.
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Pêche de la carpe
La pêche de la carpe moderne est aussi une technique
particulièrement apprécié et développer en France comme à l’étranger. Ce gros
cyprinidé est en effet un adversaire de choix, apprécié pour la qualité et la
puissance de son combat. Il est en effet particulièrement impressionnant de
combattre cet adversaire parfois de bonne taille.
On peu procéder de différente façon pour capturer cette
véritable boule de nerf, mais aujourd’hui bon nombre de pêcheur à la carpe pêche
caler à plusieurs lignes, sur le fond.
La carpe est un omnivore opportuniste si bien que la variété
des appâts est immense. Graine, fève maïs ou encore esche carnés, ou bien sur
la fameuse bouillette qui constitue un concentré d’appât rond monté directement
sur la ligne. Le champ du possible est immense. Quoi qu’il en soit aujourd’hui
la pêche de la carpe constitue une véritable discipline à part entière
particulièrement ludique et suivit par des passionnés qui ne jurent que par ce
poisson !
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Pêche au coup
En bref le principe est d’avoir
une ligne fixée sur une canne avec ou sans moulinet, et de la mettre en
présence de nos chers amis les poissons. La touche est détectée principalement grâce
à un flotteur, mais dans certains cas la dérive de la ligne, le mouvement du
scion ou tout simplement la sensation d’attaque remplace l’ustensile préféré
des pêcheurs à la ligne.
Vous l’aurez compris la pêche au
coup offre de large possibilités en Pays Gentiane. Si les spécialistes pourront
profiter de sites poissonneux comme Menet pour mettre leur art en pratique, ce
sont surtout les pêcheurs en herbe et les publics familiaux qui profiteront de
cette technique simple et pour commencer peu onéreuse. De très nombreux sites
pourront ainsi être le théâtre de parties de pêche particulièrement ludique,
que se soit en lac ou rivière. Un bon moyen de passer des moments agréable au cœur
de la nature cantalienne.